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Salut Citoyen!

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  • : Auxi-le-château : politique locale, un avis très personnel sur ce qui se passe à Auxi petit bourg du pas-de-calais.
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24 février 2011 4 24 /02 /février /2011 10:22

Le bulletin municipal _La gazette_ édité par la mairie ne témoigne pas d'un très grand élan démocratique, aucun droit de réponse n'existe; nulle place pour les opposants et aucune tribune libre. C'est d'autant plus dommage que notre maire affichait, jadis, une certaine volonté de donner la parole au peuple... Mais la donne-t-il à ses conseillers? Quand on lit les compte-rendus du conseil municipal, il est aisé de constater qu'il s'agit en fait d'une sorte de chambre d'enregistrement. Les décisions sont prises probablement ailleurs, en tout petit comité.l

Alors que faire pour donner au citoyen la possibilité de s'exprimer, d'approuver ou d'émettre des réserves, de suggérer, de participer? Autre chose, autrement probablement, il est plus facile de parler de démocratie que d'être réellement démocrate. La délégation de pouvoir que donne le vote ne devrait pas être une prise de pouvoirs et priviléges, et pourtant au fond c'est aussi ce qu'octroie le fait d'être élu et de diriger. Le pouvoir corrupteur existe aussi à notre échelle.

Créer des lieux d'expression encourager la parole, la prise de possession par les gens des lieux, le prestige c'est bien pour l'extérieur mais les locaux ne sont pas toujours convaincus. Ainsi il faut des manifestations conviviales, populaires qui attirent les gens et peut-être y glisser autre chose de plus sophistiqué, mine de rien. mais je m'égare un peu, si peu quand même la démocratie et la culture c'est finalement le même problème: les élites ont toujours l'impression que la Culture n'est pas pour le petit peuple, mais là on ne parle pas forcémment d'Auxi.

http://www.gifs-animes.net/images-image/Musique/Tambour/Tambour-1.gifQue faire pour susciter l'enthousiasme, l'engouement? Déjà sûrement capter l'énergie des plus jeunes, vivier de futurs citoyens, et par l'exemple convaincre de l'intérêt de plus de démocratie, c'est-à-dire plus de dialogue, et au final plus de créations, plus d'espoir, de joie de vivre. Ne pas oublier la forte concurrence crée par les médias et essentiellement dans nos campagne par la télévision en luttant contre cette influence lorsqu'elle est destinée à vider, à abrutir, abêtir... En s'appuyant sur ces mêmes médias lorsqu'ils permettent d'accéder au savoir, à la joie de connaitre, et jubiler. Organiser plus d'évènements, plus de sorties vers les métropoles voisines,...

Il ne faut pas hésiter à faire du battage publicitaire afin d'attirer plus de monde aux spectacles, fêtes; je me souviens quand j'étais gamin du sergent de ville , faisant office de crieur public, qui parcourait la ville en beuglant dans un porte voix les dernières nouvelles et en tapant sur un tambour. Ainsi disposait-on d'un résumé du dernier conseil, de la rubrique des faire-part, des horaires de cinéma,etc... On a bien repavé ce qui l'était autrefois, ça coûterait beaucoup moins cher de payer un crieur public et ça donnerait un boulot utile à quelqu'un, et surtout ça parlerait plus que des blocs de granit. Aujourd'hui cela semblerait désuet et pourtant ça serait sûrement vivifiant. Informer, voici un moyen de contact important et peut-on uniquement se contenter du panneau lumineux se trouvant en ville, comment lui parler, difficile de causer avec les leds (led=light-emmitting diode)?

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17 février 2011 4 17 /02 /février /2011 14:19

tunnel3-copie-1.jpgEn se promenant dans le bourg, il est aisé de constater que des papiers, des débris de toutes sortes jonchent les sols qu'ils soient bitumés, enherbés ou autres...

C'est franchement sale, crado, malgré la machine super bruyante, l'espèce d'antique modèle de balayeuse, qui arpente places et rues; enfin pas toutes les rues, les recoins sont facilemment oubliés, comme dans un gag ou l'on fout sous le tapis ou sous les meubles les poussières. Bien sûr il y a un énorme problème de comportement d'une partie de la population. Il est d'ailleurs déjà généré par les parents d'enfants, regardez les enfants, suivez une personne et ses enfants quelques instants: je parie que vous verrez les joyeux bambins jeter les papiers qui emballaient la friandise du quatre heures...

Des parents qui laissent faire, voire s'amusent du mauvais comportement de leur bambin. Des adolescents ou des jeunes adultes et des adultes qui jettent leurs papiers gras, emballages de paquets de cigarettes ou autres, cassent des bouteilles après les avoir consommées, vu la dominante verte des éclats, des canettes de bière.

Les recoins, en fait, il y en a partout si on regarde bien... J'ai déjà dit que peu de nos édiles se déplaçaient à pieds et on se demande si ceux qui le font ne sont pas atteints de cécité sélective. En Europe nous sommes sûrement un des pays les plus sales. Ici le maire et conseiller général marche peu probablement, ou alors il se moque de l'état de propreté de sa ville? Non, je pense qu'il ne le voit pas ou pire ne sait pas comment faire pour éradiquer la crasse, les détritus.

La gestion des personnes affectées aux rudes tâches de nettoyage me semble très imparfaite, leur implication médiocre. Sûrement faudrait-il agir de manière incessante auprès des enfants des écoles élémentaires et des collègiens et lycéens mais également de leurs parents en leur rappelant avec vigueur que la vie en collectivité suppose, certes des droits, mais aussi des devoirs.

Et peut-être, de temps en temps, faudra-t-il sévir pour réfréner cette propention fâcheuse à l'incivisme; n'a-t-elle pas un coût pour la collectivité, n'est-t-il pas juste de punir les petits salopiots?

Pour information, quelques lieux sales, et ainsi rendus parfois dangereux:

  • Les alentours du complexe sportif de la rue du cheval (débris de verre innombrables, notamment sur le terrain de basket).
  • Parking de l'Authie (remarquons surtout l'état écoeurant de l'enclos destiné aux déjections canine, vraiment répugnant, tel quel depuis au moins un mois; de vieux cartons dans le bief, etc...).
  • Rue du Grand four.

Et beaucoup d'autres endroits dans la ville, ce que nos concitoyens peuvent constater par eux-mêmes.

Qu'attends-t-on pour agir? Ramasser les saloperies devant chez soi _ce que je fais_ si c'est nécessaire n'est évidemment pas suffisant. Cette question de la propreté est un vrai problème, un réel souci et comporte un vrai coût. Notre cadre de vie dépend de chacun certes, mais aussi de l'action collective qui doit être initiée, dynamisée par nos élus.

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4 février 2011 5 04 /02 /février /2011 15:22

Depuis toujours dans cette campagne profonde et indéterminée, sommes nous en Artois ou en Picardie?, règne la difficulté à percevoir les ondes; nous sommes mal très mal branchés. Déjà, jadis, par la voie hertzienne quelles que soient les fréquences des émissions elles étaient toutes pollués par divers parasites; par exemple en radio à part France inter, RTL et Europe1, difficile de capter correctement par exemple France Musique ou France Culture, vous me direz pourquoi ces ploucs voudraient-ils écouter ces radios là? La télé n'était pas en reste et pendant longtemps pas de 5 de 6 et de7!

Avec la T.N.T. on pouvait enfin espérer un traitement égalitaire et ne pas se sentir citoyen de seconde zone car habitant la campagne...Las, c'était de l'ordre du rêve... Ici nous ne serons jamais tout à fait des citoyens à part entière, la réception est un privilège difficile et certains de nos concitoyens vont devoir faire appel aux services d'un spécialiste en pose d'antennes et là la note dépassera la subvention existante. Je ne pense pas que cela soit très juste.

La subvention après avoir rempli un dossier (of course) sera octroyée pour un montant de 250€ mais le moindre "antenniste" facture sa prestation pour un coût situé entre 300 et 350€ (minimum); et je ne vous parle pas des délais... pour certains le passage à la T.N.T. fait exploser la tirelire: soit le décodeur (soit changement de poste de télévision) plus la parabole obligatoires... Certains sont plus égaux, comme disait Coluche, que d'autres et eux trouvent ça normal... ça  donne envie de passer ses vacances en Tunisie et de faire une partie du trajet dans le jet d'un pote fortuné (mais opprimé par le pouvoir quand même!) qui posséderait un hôtel de luxe dont je pourrais bénéficier à l'oeil; mais là je rêve ça n'existe pas dans ma réalité qui est celle de presque tous les français.

Et, en Tunisie, ça pète d'accord mais... ils ont même pas la T.N.T. d'abord.

      http://www.gifs-animes.net/images-image/Maison/Paraboles/Paraboles-15.gif

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24 janvier 2011 1 24 /01 /janvier /2011 15:22

Il existe depuis peu à Auxi une zone d'activités où il n'y a rien, strictement rien...

Zone-d-activites--epilogue-du-feuilleton-avec-un-debut-.jpgL'on vient de retaper le petit bout de route qui mène vers la Somme, enfin route de Crécy-en-Ponthieu vers l'entrée la plus proche de l'autoroute A16_on en est quand même encore loin. Ne rêvons pas même quand les pompiers seront installés il n'y aura pas grand chose. La société Prestige chaussures n'est pas là mais à 400 mètres. Les cadres de sociétés ont besoin d'un autre environnement que le nôtre, ici pas de cinéma à moins de vingt kilomètres, aucun théâtre ou salle de concert en vue; certains diront que je chipote et que la qualité de vie fera la différence, mais quelle qualité de vie? Celle de ceux qui disposant de voitures peuvent s'évader vers Abbeville, Amiens et encore vers la côte où quelques uns de nos joyeux édiles profitant d'un pied-à-terre s'évadent dès qu'ils le peuvent pour changer d'air et d'horizon.

Non, pour être attractifs il faudrait aussi posséder des savoirs-faire particuliers; or ce qui risque d'attirer et de condamner à jouer dans une toute petite cour c'est une main d'oeuvre sans qualification, c'est-à-dire une main d'oeuvre vouée à la manutention ou au mieux à des tâches répétitives et mal rémunérées.

Ce ne sera pas simple d'attirer sans appâts les poissons intéressants; et ce n'est pas le désintérêt local pour les espaces verts paysagers, ou notre superbe médiathèque intercommunale (où est-elle déjà?) qui va susciter un grand engouement pour le bled.

C'est pas facile. En fait le lieu dépend de la communauté de communes dont le financement est en majorité quand même assuré par le bourg d'Auxi même si la représentation de la population communale n'est pas à la hauteur... Je veux dire en proportion, et la répartition des sièges entre les communes déséquilibrée en faveur des villages.

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6 janvier 2011 4 06 /01 /janvier /2011 10:21

dessin_cloches.jpgDepuis de nombreuses années les cloches de l'église, qui est un bâtiment communal rappelons-le, sonnent soir et midi et matin l'angelus ... Il s'agit d'un temps de prière lié à l'annonciation et dédié à la Vierge Marie. En France c'est le roi Louis XI qui l'instaure.

Ici, une municipalité de droite a remis cette sonnerie au goût du jour par esprit de revanche voici 27 ans. Qui pourra dès lors empêcher d'autres revendications religieuses?

A partir du moment ou l'un est autorisé pourquoi, ou plutôt comment dire non à l'autre?

La municipalité actuelle censée être de gauche, une gauche sans punch, hélas, est incapable de réaliser la bêtise que constitue le fait de laisser en l'état. Malheur à cette vision étroite, sous le pseudo prétexte de tolérance l'on autorise n'importe quoi. Qui, par ailleurs fréquente encore les offices religieux? Hors enterrements et mariages presque personne, le catholicisme local est à l'image de l'ensemble du monde catholique, il se délite, se débine, fuit dans l'air du temps... Pschhhttt...

Alors stoppons ces cloches gênantes surtout le matin, réveil obligatoire dès sept heures en toutes saisons et quel symbole que celui qui consiste à prier Marie, l'annonciation, alors que je suis quasi certain que personne n'est capable de réciter cette prière; et puis quand un juif, un musulman, un zoroastrien demanderont à être présents dans la vie de la commune sous une forme ou une autre comment moralement refuser leur demande?

Halte au communautarisme même déguisé derrière le pseudo alibi de la tradition, ici plutôt de l'habitude et cela pour contenter deux ou trois bigots, et beaucoup plus de faux-culs nostalgiques d'un âge d'or qui n'a jamais existé.

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25 novembre 2010 4 25 /11 /novembre /2010 13:18

Hotel-de-Ville-a-Auxi-le-Chateau.jpgDepuis la foire de la Saint Simon la place de l'hôtel de ville est en travaux. Hormis le fait que le froid vienne de les geler, plus aucun ouvrier sur le chantier... La place encore éventrée livre le spectacle affligeant d'une certaine imprévoyance. Les élus avancent un retard dû aux entreprises, mais qui est maître d'ouvrage? Il est commode de se défosser de son manque de punch sur quelque chose d'extérieur, comme si celui qui commande n'avait aucune prise sur le cours des choses.

Cette manie des politiques , je devrais dire des élus à se dissimuler dès qu'un problème qu'ils n'ont pas anticipé surgit...Grr....

Masquer son incapacité à organiser et gérer un problème de travaux et de stationnement ne fait pas illusion et les citoyens sont franchement mécontents. D'autant plus que certains, stationnant impunément n'importe comment, comme je l'ai déjà dit, et ce depuis des années, se sont pris un beau p.v. de 35 €!

Pour revenir à la place, là où cela devient ébouriffant, c'est qu'elle ressemble ainsi comme deux gouttes d'eau à celle d'il y a un siècle. Evidemment ça donne du travail à quelques uns; mais, ce travail n'étant pas gratuit, l'argent aurait été plus utile à soulager la misère car même en ces temps de dureté économique on ne peut pas se contenter d'une soupe de cailloux.

 

LA SOUPE AUX CAILLOUX d'après un conte picard

C'était l'hiver. Il y avait bien longtemps que Renard n'avait rien trouvé à

se mettre sous la dent. Son estomac criait famine. Il tournait et retournait

dans son terrier, cherchant une idée pour sortir de ce triste embarras.

Soudain, il ramassa quelques cailloux et fila chez Compère

Blaireau.

- Très cher ami, lui dit-il, pourrais-tu s'il-te-plaît, me prêter une

casserole ? J'en ai besoin pour me préparer une soupe aux cailloux... la

mienne est toute trouée.

Blaireau se méfiait comme la peste des tours de son ami Renard. Il

n'aimait guère lui ouvrir sa porte. Mais il n'avait jamais entendu parler

d'une telle soupe et sa curiosité emporta le marché. Il laissa entrer le rusé

compère.

- Oh, je n'ai pas besoin de grand chose, promit Renard... Juste un

peu d'eau et un bon feu !

Et il mit les cailloux à cuire dans la casserole.

Blaireau se grattait la tête d'un air sceptique :

- Cela ne doit pas être bien bon !

- C'est là que tu te trompes, répliqua Renard. Ces pierres sont un

délice si on les laisse cuire assez longtemps. Bien sûr, c'est encore

meilleur si on y ajoute un peu de sel et du lard.

Blaireau coupa une tranche de lard fumé et la plongea dans la

marmite.

- Tu verras, promit Renard, je ne connais rien de plus exquis que la

soupe aux cailloux. A propos, cher compère, n'aurais-tu pas quelques

légumes pour rendre la soupe plus moëlleuse ?

Blaireau pela quelques pommes de terre, prit trois carottes et deux

navets qu'il plongea dans l'eau bouillante.

Et la soupe aux cailloux cuisait, cuisait... sous l'oeil attendri de

Blaireau.

- Voilà, dit Renard au bout d'une bonne heure, maintenant ce doit

être à point. Apporte- nous deux assiettes.

Il se servit abondamment du lard et des légumes qu'il avala à

grande vitesse. Puis il remplit l'écuelle de Blaireau d'une bonne louche

de cailloux.

- Tu es sûr de n'en avoir jamais mangé ?

- Non, dit Blaireau.

- Eh bien, régale-toi, tu m'en diras des nouvelles... Pour ma part, je vais faire une petite sieste !

Et il fila sans attendre dans son terrier, le ventre plein, l'estomac

rassasié.

Le problème ici, c'est que nous n'avons que les pierres à bouffer...

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25 novembre 2010 4 25 /11 /novembre /2010 11:15

La création de la nouvelle station d'épuration, en liaison avec le raccordement de tous les foyers au tout-à-l'égout, est en partie un gag car le prétexte avancé à l'édification de la station est le suivant: l'actuelle serait trop petite en capacité, or c'est faux, ceux qui ont de la mémoire savent qu'elle a été conçue pour 5000 habitants (et le bourg en compte à peine plus de 3000). Par contre, ce qui est vrai c'est que l'Europe impose des normes draconiennes qui contraignent à la mise en oeuvre de nouveaux équipements, ceci pour des sommes impressionnantes.Voir les liens sur maxisciences link ou sur maire info: link

D'où la question suivante: qui avait intérêt à faire construire ce nouvel équipement alors que l'ancien devait pouvoir faire encore de l'usage? Il n'y a jamais eu de véritable réflexion sur la faisabilité d'une réfection, ou d'une mise aux normes, c'est tellement plus simple de consommer de la subvention. Si tous les trente ans il faut changer de station la commune sera toujours confrontée à de gros travaux et problèmes financiers. Je sais bien que les sommes mises à disposition allègent le coût pour les finances communales_ mais je persiste à penser qu'il y a là un immense gaspillage des deniers publics et d'un gros gâteau qui profite beaucoup à certains et bénéficie peu au peuple.

Quand on sait que certains territoires se fichent bien des normes, comme la Corse par exemple, cela prête à rire jaune.

D'autre part l'absence d'éoliennes sur le territoire de la commune peut surprendre ceux qui savent à quel point notre vallée et ses environs sont venteux. L'opposition  de certains de nos élus et probablement leur manque d'imagination en est la cause: ainsi, le maire d'Auxi et le président de la communauté de communes affirmaient-ils encore il y a peu l'impossibilité d'édification due au champ de vision du château de Flers ! Enfin, c'est le préfet qui est en cause.

http://www.labeilledelaternoise.fr/actualite/DANS-L-AUXILOIS.-Le-haut-debit-dans-3-communes--496.html

A peine croyable. Sans aucune volonté de s'y opposer ce qui est caractéristique. Par ailleurs là aussi certaines entreprises ont flairé le bon coup...

En bref, si l'on se rappelle du (mauvais) traitement infligé aux arbres, notre bourgmestre n'a pas franchement la fibre écolo et la transparence n'est pas tout à fait à l'ordre du jour; c'est sûrement pour cette raison que les conseils de quartier n'ont jamais été mis en place: ainsi, tout est bouclé d'avance, tout est joué, dans une pseudo-ambiance démocratique.

Pour rappel: 1 251 587 € d'emprunt.flers3.jpg

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22 novembre 2010 1 22 /11 /novembre /2010 10:24

Afficher-l-image-en-taille-reelle.jpgUn souci double et de taille ici à Auxi, est l'absence d'un véritable hébergement d'urgence pour les citoyens qui en auraient besoin et paradoxalement  l'abondance de logements à caractère social, alors que paradoxalement les villages alentours en sont pratiquement dépourvus.

http://www.lavoixdunord.fr/Locales/Saint_Pol_sur_Ternoise/actualite/Autour_de_Saint_Pol_sur_Ternoise/Ternois_Ouest/2008/07/01/article_habitat-les-elus-de-l-auxilois-ne-veulen.shtml

Femmes sans revenus, en instance de divorce ou séparées, chômeurs sans moyens de subsistance, visiteurs de passage sans ressources,... toutes ces personnes peuvent se retrouver à la rue, sans protection du jour au lendemain, brutalement. Or la municipalité ne fait pas grand chose, comme si cela ne pouvait advenir. La précarisation d'un nombre croissant de personnes devrait pourtant guider les pensées de nos conseillers, et celles du maire, vers la création , souvent réclamée d'une nécessaire solution d'urgence. Sinon nous serons rapidement confrontés à de graves problèmes; pour les gens déjà dans la misère, comme c'est le cas à Divion, voir le lien du D.A.L. (le camping municipal) link.

Par ailleurs, second problème, l'abondance de logements sociaux : tant publics que relevant de bailleurs privés devient inquiétante, elle crée artificiellement un déséquilibre en "faveur" de population sans histoire locale, sans liens avec le lieu et qui ajoute aux problèmes autochtones au moins deux types de violences. La première est de type citoyen: les nouveaux venus ne saluent plus les habitants qui ont fait souche depuis longtemps et qui ont souvent depuis des générations construits l'histoire du lieu... Cette méconnaissance du tissus social pré existant le déchire et il devient difficile de se reconnaître dans cette nouvelle population aux manières d'être irrespectueuses, le minimum de politesse n'est pas tenu, même dire bonjour...

Cela n'a pas l'air très grave, mais en réalité c'est tragique.

Par ailleurs et c'est le second point que je repère, les conduites franchement déviantes se multiplient; n'étant plus, ou pas surveillés par la communauté de souche toute une catégorie de la population tentée par la délinquance passe à l'acte. Ainsi, par exemple les trafics de drogue link se multiplient sous nos yeux sans que la gendarmerie locale agisse (du moins avec la rapidité qui ne laisserait pas imaginer un certain laxisme de la part des autorités). On ne veut pas y croire et pourtant cela se passe là, sous nos fenêtres, à nos portes. Allez voir près de la passerelle du parking de l'Authie en plein centre bourg le soir; une dame âgée mère d'un ami s'y est fait insulter, beaucoup d'autres s'y sont fait menacer. Le soir, la nuit depuis que les gendarmes locaux ne font plus de rondes les incivilités redoublent (merci Sarko, hum, hum).

Alors probablement faudrait-il redonner vie à l'ancien métier de veilleur  et rendre ainsi nos vies et nos nuits plus sûres. Celui-ci pourrait être en liaison avec les services de police municipale et la gendarmerie. Un service de ce type à la population contribuerait à diminuer les problèmes sur le long terme. Ceci dit il faudrait stopper tout programme de logement social public et favoriser l'intégration des nouveaux habitants en imaginant: peut-être une fête, une journée particulière au cours de laquelle l'histoire du lieu pourrait leur être contée et le contact avec les habitants se faire sur un mode convivial?

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20 novembre 2010 6 20 /11 /novembre /2010 22:16

église vue du chemin du mariageAuxi est une petite bourgade ayant connu des jours meilleurs, bien meilleurs.

Cette petite cité, un centre bourg jadis dynamique, attractif, Auxi est une petite bourgade ayant connu des jours meilleurs, bien meilleurs.

Cette petite cité centre bourg jadis attractif est maintenant en déshérence, seuls quelques commerces subsistent, notamment les supermarchés accessibles en voiture sans souci. La municipalité est socialiste, enfin parti socialiste... Tous les socialistes ne sont pas comme ceux-là heureusement. Mon propos ici se veut engagé au service de la population qui n'a pas droit à la parole, ou plus justement droit à la parole une fois tous les six ans, ce qui est vraiment peu. Aujourd'hui, le maire monsieur Henri Dejonghe est aussi conseiller général, cumul quand tu nous tiens... Je ne crois pas qu'il soit souhaitable de cumuler les postes et les indemnités; je ne crois pas que cela puisse être en faveur de plus de démocratie cette concentration de pouvoirs et de prise de parole. En fait cela conduit l'élu à devenir un pur technocrate, surtout dans les petites communes rurales, le simple fait que ce maire ne marche presque jamais ici le rend ignorant de petits soucis vécus par les autres; c'est inévitable. En ce moment les travaux du centre ville perturbent la vie des habitants des petites rues du centre comme la rue du château, de l'église ou la rue Wallart, les automobiles sont, bien souvent, garées n'importe comment en toute impunité depuis des années... Soudain, il semble que le maire ou un de ses adjoints à moins que ce ne soit le policier municipal ait décidé de sévir, et de servir (enfin). Mais c'est fait un peu n'importe comment, des p.v. ont été mis la semaine dernière et d'un coup plus rien, ainsi les riverains des rues mentionnées qui sont temporairement en zone bleue ont de plus en plus de mal à se garer, et , lorsqu'ils ont la mauvaise idée d'utiliser leur garage ils en sont souvent prisonnier car d'autres se garent devant sans vergogne_ et impunément. Ce maire clame haut et fort que l'on ne doit pas se faire justice soi-même, encore faut-il que les forces de police mandatées par lui agissent que ce soient le municipaux ou les gendarmes.

Si l'on veut faire justice, il faut reconnaître que le local doit pouvoir se garer à proximité de chez lui, lorsque l'on paie ses impôts locaux ça ne paraît pas excessif de vouloir stationner dans la rue ou l'on loge. la conjonction actuelle des travaux sur la place de l'hôtel de ville et des fêtes de fin d'année, après le ratage de la foire de Saint-Simon. Oulala.

Je suggère à nos élus de prendre le pouls de la population en la fréquentant plus souvent, à d'autres moments que les vins d'honneur

Art.417-10 du code de la route.link

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